Et vous aimerez les convertis !

 

 

Il est connu qu’on ne rappelle pas à quelqu’un qu’il est converti. Pourtant on ne se rappelle pas assez à soi même qui est converti. A quoi bon le savoir, s’en souvenir ? Car nous avons l’obligation d’aimer le converti différemment et plus que nous ne devons aimer tout Israël.

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